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Schio- Architecture et Urbanisme

 

Texte : Renata Poliana Cezar Monezzi

Date : Septembre 2015

Schio - Architecture et Urbanisme

 

À travers son histoire, la ville de Schio a dans la production de laine et de textile une importante tradition. Durant l’hiver, la production agricole était confrontée  par  le froid et parallèlement  des travaux relatifs à la production de textile  prenaient de l’importance dans la vie quotidienne. Après l’unification de l’Italie, il y avait un développement  supplémentaire de la production textile ; la région de Schio et Vicenza recevait un large nombre de travailleurs ruraux qui étaient en quête d’opportunités dans les industries existantes. Ceci  a stimulé le développement de la ville de Schio et la création du village ouvrier qui a été construit dans le but de loger les nouveaux arrivants travailleurs. Parmi les compagnies qui ont joué un rôle important dans le développement industriel de la région, celle de  la manufacture lainière de Rossi en fut une.

Francesco Rossi fonde  la manufacture lainière de  l’industrie en 1817. C’était a une petite usine dont la production était assurée à la main et qui plus tard a connu une proéminence quand en 1849, cette petite industrie a été léguée à son fils, Alessandro Rossi. Alessandro a transformé cette petite industrie parmi  les plus importantes industries nationales et a été une référence pour le développement économique régional
Cependant, Alessandro a organisé son village industriel dans une surface  de 2 hectares de terres lequel contient les  bâtiments collectifs, des jardins et436 résidences classées dans différents types de position de la compagnie. Le design architectural et urbain était dessiné par l’architecte Antonio  Caregaro Negrin qui, selon Fontana, était responsable pour la réalisation de la conception de Rossi à propos des besoins des travailleurs du village : une ville qui sera organisée et agencée avec un concept de moralité et des conceptions d’architecture fonctionnelle moderne.

 

[1] FONTANA, Giovanni Luigi. Schio e Alessandro Rossi: impreenditorialità, política, cultura e paesaggi sociali del Secondo Ottocento. Roma: Edizioni di Storia e Letteratura, 1985. p. 689.

Schio - Architecture and Urbanism

 

Throughout its history, the city of Schio has in the production of wool and textile an important tradition. During the winter, agricultural production was frustrated by the rigorous cold and tasks relating to textile production gained importance in domestic life. After Italian unification and the extent that there was a further development of textile production, the region of Schio and Vicenza received a large number of rural workers seeking job opportunities in existing industries. This stimulated the development of the city of Schio and the creation of the worker's village that was built in order to house the workers newcomers. Among companies that have played an important role in the industrial development of the region highlights the Rossi industry of woolen manufacture.

Francesco Rossi founded the Rossi industry of woolen manufacture in 1817. It was a small factory whose production was handmade and gained prominence only later when, in 1849, this small industry was inherited by his son, Alessandro Rossi. Alessandro transformed this small industry on the most important national industries and a reference with regard to regional economic development.

Thus, Alessandro organized its industrial village in an area of about 2 hectares encompassing collective buildings with utilities, gardens and 436 dwellings classified in different types bound to the different positions in the company. The architectural and urban design was designed by architect Antonio Caregaro Negrin that, according to Fontana [1], was responsible for realizing the conception of Rossi about the necessities of the workers village: one city that would be organized and aligned with a concept of morality and conceptions of a functional modern architecture.

 

 

 

[1] FONTANA, Giovanni Luigi. Schio e Alessandro Rossi: impreenditorialità, política, cultura e paesaggi sociali del Secondo Ottocento. Roma: Edizioni di Storia e Letteratura, 1985. p. 689.

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